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PROPRIETE SECONDAIRE NE PAS MARCHER SUR LA PELOUSE

14 décembre 2006

[IIX] Le Vertige du Bonheur

Juste pour avoir envie de rien dire.
Juste avoir envie de s'endormir, juste se détester comme avant.

se dire que c'est pas elle, que de toute façon c'est impossible, que la misanthropie reviendra, que l'indifférence est toujours là, que ca sera toujours pareil. Et on arrive pas à être ce qu'on veut, peut-être qu'on s'en aperçoit pas assez vite, le naturel est si laid.
On a beau dire que l'on est pas celle qu'on dit, sans s'en apercevoir au fond, si.

On a tous envie d'entendre "au fait tu joues un rôle" nous aussi c'est ce qu'on pense, mais àprès on s'aperçoit que c'est faux. Le pantin a pris le controle, la marionette a coupé es fils, l'acteur ne se sépare plus de son personnage. On arrive pas à se retrouver et on s'aperçoit qu'on s'aimait au plus bas, que du haut du piedestal de la gloire, on à peur, le Vertige du Bonheur.

Au profond de la fièvre et du délires, en aval de la lucidité , les pensées vous ronge et vous imprègen comme la fumée évitée de la folie.
Le temps du malheur est fini, vous le regrettez.

Comme un déficit de bonheur, mon coeur n'a pas cette case, trop poussièreuse, de toute façon je ne veux plus être celle que je suis arrivée à devenir.

je veux redevenir comme avant mais sans le vouloir,
je m'y suis habituée, c'est pas si dur.

Je me lasse si vite de tout,
dès que je l'ai obtenu,
le jeu semble moins drôle
Et je me lasse encore
toujours plus
Encore ?
oui, maintenant ca doit être comme avant,
Je veux retrouver les gens dont je me suis encore une fois lassée

Et on en veut toujours plus, sans s'en apercevoir, parceque au fond c'est ça le but.
Je veux évoluer, mais en ayant le passé à porté de main,
et si le futur n'était pas si beau ?
et si je regrettais le temp des cris ?
et si je voulais m'enterrer à nouveau dans cette maladie intensément invisible ?
les murs se referment et la fuite deveint plus dur
le choix doit être fait

Abandonnons
.

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9 décembre 2006

[IIX]

Je le verrai assis avec nonchalance à une table, au début il ne m'intéressera pas, comme les autres. Je passerai, le regardant de haut, comme tout les autres. Il fumait, j'aurais du pourtant remarquer qu'il n'avait pas la même façon de se détruire la santé, il y prenait un plaisir malsain, on aurait du s'y rencontrer. Il avait les cheveux en bataille, cravate noire défaite, qui contrastait avec sa chemise blanche. Je me souviens pourtant de tous ces détails. Il aurait perçu le doux mouvement de ma longue robe noire, le claquement étouffé de mes escarpins sur ces coûteux tapis, il aurait vu que ma coiffure n'était pas si bien faite, que j'étais mal maquillée. Je serai sortie. Au début il ne m'aurait pas suivi, il aurait fait trois fois le tour d'une table, cherchant quelqu'une digne d'intérêt, sans faim il serait à son tour sorti, ne pensant pas à moi.
J'étais accoudée à un balcon, rejettent l'invitation à "prendre un verre" de 2 vieux grisonnants, poliment je leur aurais dit "non merci" ou "je ne bois pas d'alcool", pour que mes yeux de droguée leurs fassent comprendre que je n'avais pas envie. En me retournant, je l'aurais vu, je lui lancerai mon regard méprisant qui sied si bien à mon air hautain, il se serait dit que je détonnais vraiment de l'assemblée, j'aurais voulu descendre les marches qui me séparaient de lui, mais l'alcool et la drogue me faisaient tanguer, il m'aurait pris par le bras, m'aider à marcher. Tout simplement parce que mon regard lui aurait transpercé le cœur, mon parfum cher lui aurait envoûté l'âme, ma démarche, qui aurait été à son plus bas, l'aurait fait fondre. Et il m'aurait accompagnée sur un petit banc, le même que dans Cendrillon, avec des arbres autour, et seul un chemin pour rentrer, par là où les vieux pervers de tout à l'heure pourrait nous voir. C'est ce que j'espérais. Je lui aurais pris une cigarette, il aurait compris et me l'aurait allumée...
Mêlant nos fumées je saurais ce à quoi il penserait. Je saurais que mon aisance l'avait entièrement conquit. Je saurais que je pouvais faire ce que je voulais. Je jouerai à la fragile qui a besoin de quelqu'un qu'elle ne connaît pas à une soirée à laquelle elle s'est invitée. Il marcherait. Je poserais ma tête contre son épaule. Il frissonnerait et me prendra par l'épaule. Il ne vaudrait pas savoir mon âge, mon nom, ma situation, il penserait juste à Moi. Il me voudrait, mais se l'interdirait, se disant que j'étais sûrement celle dont j'ai l'apparence. Je fumerai, tirant sur sa clope, et lui cracherai la fumée à la tête, en croisant les jambes je ferai apparaître le haut de mes bas résilles… Il y glisserait sa main et là tout foirerait. Les vieux débarqueraient, lui diraient qu'Il ne peut pas, me dirait que je dois retrouver ceux qui m'ont invité, et ils l'emmèneraient.

J'aurais encore sa clope, son odeur, la chaleur de sa main, son souffle dans mon coup, et ma solitude.
Je reviendrais souvent à ce balcon, sans fête, sans lui, le paysage n'aurait plus le même charme, il me semblera le voir une fois, mais sans toute cette ambiance, cette impression qu'on était seul au monde…

En ouvrant les yeux, je tourne la tête, il est là. Le même ? Je ramasse vite mes affaires éparpillées aux coins de la chambre, mes escarpins, ma robe, mon sac, vite. Je sors, je ne sais plus où je suis, qu'ai-je fait, quand-est-ce que le rêve a rejoins la réalité ?
Je sors, la rue, je regarde ce lieu, me promettant de revenir Le voir.

2 décembre 2006

[VII] ROUKHES

Roukhes

Tu as défié le sombre
Et maintenant suit mon ombre
Effrayée de ta présence
De ton hiératique aisance
Tu ne pense
Mais son sort qu’elle lance
Pour t’implorer de l’aider
C’était sa dernière idée
Maintenant, moi, ta cible
Tu me jette des affres horribles
Tu te soumets à elle
Qui te conjure de lui venir en aide
Tu me transperce de ton froid
Je ne te vois, mais j’y crois
Je sais que tu es là
Mon âme famélique de carence
de fantastiques morts qui devant mes yeux dansent
Elles me reprennent
me lâche et reviennent
Tu perces les attaques sans attente et sans ententes
Tu crèves les rêves amers et les défenses insolentes
Tu me tue, tutoie ma voix
Vide ses plaintes sur moi, en émoi
Je ne peux voir,
ce que je ne peux croire.
Je l’aperçois derrière toi
Meneuse de mon âme
Celle qui a provoqué le mal
Celle qui m’invitera aux mânes
Se moque lorsque j’émets un râle
Elle me rappel toutes mes erreurs
S’en nettoie de ses peurs
Te renferme dans ton monde
Dans lequel maintenant je suis initié
Elle m’envoie dans les dessous immondes
Et à toi me soumet
Elle dominatrice du Mal
Elle qui pensait faire Bien
Sa haine me cale
Sa voix nous demande le gain
J’ai perdu
Tu deviens plus fort
Je me fonds en toi
Par ton hiatus de démon
Tu perçois la fusion
Seulement pour son bien
Nous ne faisons qu’un
Deux êtres acharnés
Qui ont tout pour se détester
Deux être affamés
Qui vont se déchirer
En un corps
Deux envies de mort
Elle contemple notre temple
Attend nos atteintes
Acclame notre calme
Plante notre corps qui rampe
Sa vie suinte
Notre vide, blâme infâme
Dans son esprit grandiose
Notre lutte fait pause
Le temps qu’elle reprenne ses esprits
Qu’elle se dise qu ‘elle est en vie
Elle m’a imbibée de chair
De mon autre moitié, de Lucifer
Elle m’a appris la vie
Ce pourquoi elle voulait que je sois punie
C’était elle ou moi
Qui empâterai ce roi
Celle qui a gagné
Celle qui l’a imploré
Celle que je haïssais
celle à cause de qui j’errerais
Je suis maintenant condamné
A participer aux meurtres
A être implorés des futures mortes
Un jour ce corps
me vomira la mort
Et je pourrais respirer
Quelques soupir
Puis m’arrêter
Arrêter de souffrir
De tout ce que j’ai provoqué
Par tout ce dont mon esprit à été saigné
Nos mains couvertes du sang de tant d’innocents
Nos cheveux qui volent lentement dans le vent
Exécrant le fait que j’ai été avalée
Mais, pas à tout jamais. 

28 novembre 2006

[VI]

Il fallait juste que je cours. Que je laisse tout, que je parte, que je marche, que j'accélère, que je cours, que je fuis. L'omniprésence me suivait, m'entourait. Tout à changé. Je me lève encore, il n'y aura plus d'aurore. Mes ailes arrachées, décharnée, mon ciel dévasté, ignoré. Erre. Cours, crie. Je ne sais où aller, je ne sais que crier. Puis-je encore lutter ? Mon être s'acharne, mon corps se décharne, le décor s'encharne. Changent les mots, tombe les os. L'ampleur prend du macabre, la hauteur prend des cieux. Fuire, courir dans les reves, mourir, il se lèvre. Il est toujours là, il a suivi par sa voix. Je sais que je ne peux, je sais je ne veux, je sais que je peux. Fuir, partir, courir. Il est encore là, en moi je sens qu'il y croit. Je fuis ce que je sais, je sens ce que suis. Je fuis ce que je suis. Il est là, je le sais. Il est moi, je le suis. Je ne peux me résigner à faire face, je ne peux m'ordonner de perdre la place. La fumée est toujours là, il m'obsède et me traque, claque les raides cils. Il est autour de moi, Il prend possession, son aisance m'imprègne, je fuis. je cours, je cours...
Il fallait juste que je cours, mais on ne peut s'enfuire de sa propre tête.

26 novembre 2006

[V]

Lorsque j'écris, je ne sais pas où je vais arriver. Je veux commencer dans un sens, mais j'arrive à l'opposé. Je ne sais jamais où le fil de mes pensées, au gré de mes mots, me mènera.

Je suis à nouveau incapable d'écrire, le seul fait de poser ces phrases prouve le contraire. J'ai toujours eu peur de faire trop bien, d'écrire trop gros, trop beau. Il m'a fallu longtemps après "catharsis", personne ne peut avoir dans l'idée de ce que j'ai ressenti ce samedi matin, 8h00, alors que les mots coulaient de mon stylo sans que je puisse les arrêter, j'étais leur esclave. Je ne sais quel dieu ou démon a pris possession de moi à ce moment afin d'assouvir ce besoin de poser ces mots quelque part. J'ai été trop souvent son esclave, me relevant la nuit pour poser les phrases que je ne voulais pas oublier, chercher avec frénésie le ticket de métro, la note, ou le morceau de papier grâce auquel je pourrais apaiser mon envie d'écrire.

C'est pour ça que j'ai toujours peur en me relisant. Je sais que ce que j'écris ici est médiocre, voir vraiment mauvais. Mais si je relis quelque chose dans lequel il y a tout mon cœur, j'ai toujours eu peur de ne plus pouvoir écrire, d'avoir fait trop et d'être littéralement vidée de toutes sensations après. Comme si j'avais mis trop d'ardeur à le faire et que toute mon âme était à présent, écrite en caractère rouge sur une feuille de papier.

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26 novembre 2006

[IV] Oscillation entre l'abstrait et le courant.

Marcher sur un fil fin, ne pas tomber. Ca semblerait si dur, la sécurité n'est rien par rapport à la terreur insurmontable que l'on ressentsachant que l'on peut tomber d'une minute à l'autre.  Les bons mots, le bon ton, tout peut prendre fin dans une grande chute immémoriale. Ne plus savoir quoi écrire, un texte totalement décousu, dépourvu de sens et de message, seulement vouloir fair quelque chose. Hésiter entre l'abstrait, l'irréel, les métaphores et les sous-entendus dans lesquels on put se refugier espérant n'en laisser deviner juste ce qu'il faut. OU alors choisir le concret, le quotidien, racobnter clairement, énoncer pertinement ce que l'on fait, ce que l'on pense.
Je pourrais aisément passer dans ce concret, juste en parlant de ma vie, de ce que je fais, mais je n'en ai pas l'envie. Tout simplement parceque. Le simple fait de l'avoir évoquer vous rapproche déjà de ce concret. Il faut repartir.
IL ya des choses dont vous vous sentez capable, mais que vous n'avez pas la force de réaliser, un terrain entier que l'on pourrait bâtir, on en a les possibilités, il ne reste qu'à essquisser les plans, mais tout semble soudain trop complexe. Vous vous arrêtez à mi-chemin, c'est trop épuisant, un travail mental extenuant. Mais lorsque l'on se trouve face des choses dont on se sent incapable d'entamer un début, on peut toujours essayer, et avec passion et courage, on y arrivera. Les choses ne sont jamais ce qu'elles paraissent

Vous allez me dire obsédée par l'idée de création, ou de beauté. Oui, je veux crée de la beauté, et comme Andréa dans Hell, je vous dirai "Je suis un artiste, et mon oeuvre, c'est Moi", quelle prétention, et prétentieuse, j'ose dire que je le suis.

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19 novembre 2006

[III]

     Un jour tu comprends que ça va pas. Tu t'aperçois qu'au fond nan ça va pas. Tu jettes un regarde dans lequel tu contemples ce que t'as fait de ta vie. Rien. Tu te dit que la vie est belle, qu'il y a pas eu tant de morts autour de toi, que ta p'tite vie minable est pas si mal, que t'as de quoi manger, t'as uncoin pour dormir, un ordinateur sur lequel tu passes ta vie et où tu peux taper des articles à la con, t'as c'te putain d'inspiration et un truc au fond du coeur qui te pousse à partager c'te truc seulement quelques pixels, qui arriveront peut-être avec peine à faire resentir un truc, qui arriveront à déclencher quelque chose dans la coeur, l'âme l'esprit de ce con qui te lit, dont tu sais rien mais il existe lui aussi c'est son droit, il à p'tetre uen vie de merde, il peut-être envie de se pendre et que grâce à cet article pitoyable il se pendra enfin, tous ses proches pleureront mais toi tu t'en foutera, tu le connaissais pas.
    C'est vrai, au fond ta vie est pas si mal, on te dit que tous les jours y'a des viols, des tueries, des massacres, des attentats, tu prends un air épouvanté parceque sinon tu passes pour un con et tu finiras interné dans un beau pyjama avec les manches attachées. Mais au fond, on sait que tu t'en fous, t'es as vraiment rien à foutre, qu'est-ce que ça vient faire dans ta vie des morts ? Y'en a tellement des millions que tu sais plus où donner de la tête, alors tu fais comme tout le monde, tu dit que c'est affreux.
Un jour peut-être ca arrivera dans ta famille, tes amis, mais de toute façon t'oublierai, on a beau dire, l'amour est éphémère.
    et puis du coup, t'en veux plus de cet amour qu'on te donne trop facilement, c'est trop facile. Pourquoi toi t'aurais l'amour comme ça donné sur un plateau alors que t'as rien demandé ? L'amour de toute façon c'est nimp, c'est une grande blague, c'est une fabulation donné au faibles d'esprits pour qu'ils se raccrochent vainement et pour qu'ils puissent croire qu'ils comprennent enfin le monde. Tut'apperçois juste que c'est trop simple. T'en veux aps de cette vie, elle est parfaite, tout est beau, tu es sous ta cloche de verre rien ne peut t'arriver, et ça te dérange.
    Tu veux juste que ça soit pas comme ça, on te dit que t'es belle, mais toi tu veux être belle autrement, on te dit que t'es gentille mais toi tu veux être méchante, on te dit que c'est trop beau ça, ça et ça, tu vas t'arranger pour que la laideur reprenne le dessus. On te dit que t'es douée mais tu veux plus, tu veux que tout change, tu veux aps que ça soit aussi facile. Tout simplement parceque le malheur et l'envie sont beaux.

    Sans envie de toute façon on sera heureux, et le bonheur est trop simple. On a envie constament d'évoluer, d'avancer, le bonheur nous met dans un état de béatitude profond, dont on n'a peur. On n' pas l'habitude de se bonheur, il est terriblement effrayant au fond. Vous imaginez être là, et se dire que la vie est belle, et après ? qu'est-ce qu'on fait après ? on veut un chien, puis une meilleure voiture, des enfants, un monde meilleur, et on devient médiocre.

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                                                                                                On se complait tant dans le malheur

14 novembre 2006

[II] Ma grande fantasmagorie

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Il est si beau le monde dans lequel je vis. Incessamment sous ma tête il y a cette fantasmagorie grouillante, de rêves et de sang. Elle coule et se dédouble, prennent les multiples chemins que je leur invente. Elles se mêlent, se séparent et s'entrelacent dans le but que je leur prône: La Beauté. Tout n'est pas encore parfait.
Je continue, je hais le retour sur terre. Marchant encore, encore, je ne sais où, les gens me dévisagent à rêver béatement, ailleurs est si beau. Puis un visage, un oeil, ces mains sales ne peuvent me toucher, elles ne peuvent pas dans ce monde, la réalité revient et m'englobe de laideur. Toutes mes illusions oscillent, une dernière lueur, puis disparaissent. Le souffle coupé j'ai perdu le fil qui m'emmenait vers l'apothéose de la grandeur. Je cours soudain plus vite sous la pluie. L'air me manque, je suis déconnectée de la réalité, ma tête bourdonne, mes sens s'altèrent, je ne sais plus ce qui me préoccupait tant, je m'en souviens et replonge, douce lueur de terreur dans mes prunelles. Il me vient à songer que c'était peut-être ici la dernière de mes illusions, et si j'avais perdu le pouvoir d'en créer ? L'instinct me préconise de recommencer, je m'en sens incapable, j'avais mis tout mon cœur a  créer la précédente, il est maintenant vide et las. Je m'arrête, je me souviens combien j'aime courir sous la pluie, comme si les larmes passaient comme des gouttes...
J'y arriverai sûrement, je peux recréer tout ça non ? Le temps d'y resonger, je sens le paradoxe qui recoule, et découle de mes blessures ouvertes.
Je revois des éclairs, des bribes, des miasmes de mon oeuvre. Ils prennent un aspect terne, je vois les gens dans la rue, aussi terne que mon rêve perdu. Tout redevient égal, je me remet à marcher, traînant le projet de mes prochaines pensée, j'y arriverai, il le faudra. Un sourire dans la foule...
Le monde n'est peut-être pas si laid.

4 novembre 2006

[I] Un début a tout

Le mot du début: Bonjour.

Je sens déjà que ca va être dur. J'ai eu tout type de début, il y a eu le "début" de l3t4l-3rr0r, la belle présentation dark de dead-open-eyes. Et maintenant ?

Plus sérieux déjà, quoi que, vous allez lire "ma merde en boîte" (© Lushettte ^^)

PROCHAINEMENT EDITE

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